Ces choses qu’on fait moins (voire pas !) au deuxième…

Comme toutes les mamans, on s’efforce toujours au début d’être la mère parfaite. Et suivre pas à pas les conseils des magazines et du web, qui déjà eux-mêmes se contredisent, respecter scrupuleusement les consignes du pédiatre, du médecin, de la sage-femme, qui eux aussi ne sont pas toujours d’accord entre eux, n’est pas de tout repos. Surtout quand l’entourage s’en mêle !

Le problème est qu’en matière de parentalité, tout le monde en connaît un rayon, même ceux qui n’ont pas d’enfants, même ceux qui ont eu leurs enfants d’un temps que les moins de vingt ans… Bref, tout le monde sait mieux que toi. Alors tu te sens un peu paumée…

Heureusement, avec le temps, on se détend du string et on apprend à faire confiance à son instinct. Et on voit avec l’expérience. bébé grandit et on prend des habitudes, pas toujours les meilleures certes, mais bien plus cools que les règles scrupuleuses des manuels de parentalité. Et au deuxième, évidemment tu deviens encore un peu plus roots… Tout ce que tu t’es autorisée sur le tard pour le premier devient plus naturel plus tôt avec le second. Je ne te cache pas que des fois je culpabilise de ne pas être aussi scrupuleuse avec le Mini que lors des premiers mois du Petit… Mais globalement je suis plus cool, plus détendue, et ça, je pense que ça déteint sur les enfants. Quelques exemples des trucs qui m’auraient rendue malade au début mais qui finalement m’ont détendue :

  • Ne pas se laver systématiquement les mains pour préparer le biberon (sauf quand elles sont vraiment crados, je te rassure)
  • Troquer la vittel contre de la cristalline pour les biberons (c’est pareil et c’est moins cher)
  • Partir en vadrouille avec un seul sac à langer (un repas d’avance, quelques couches et un change ça suffit !)
  • Faire un biberon avec de l’eau du robinet (c’est toujours mieux que de le faire sans eau…)
  • Donner un petit pot 12 mois à 11 mois et demi, ou du lait de croissance à 9 mois au lieu de 10
  • Leur donner à manger avec une vraie petite cuillère
  • Leur faire goûter une cuillère de vrai yahourt
  • Ne pas les frotter à la lingette à la moindre barbouille
  • Leur essuyer le nez avec son mouchoir (parce qu’au début, je sortais une lingette immaculée pour chaque morvouille)
  • Ne pas les changer à la moindre tâche (moins de machines, plus de temps !)
  • Sortir quand il pleut
  • Ne pas se lever au moindre chouinement (ça en plus ça marche pour de vrai !!)
  • Laver la tétine avec sa salive (parce que je stérilisais au début, encore et encore…)
  • laver leurs fringues avec les nôtres (et pas à part avec al lessive spéciale bébé)
  • Taper dans leurs chocolats de Pâques (bah quoi…?)

Bon j’arrête avant de passer de la mère cool à la mère indigne… !

Le tout est après je pense, de ne pas reproduire le schéma avec l’éducation. Ce n’est pas parce que le premier a été cool avec les règles de base qu’il faut lâcher du leste sur ces mêmes règles avec le deuxième… Un vrai défi… Vigilance !

Et toi alors, plus roots aussi avec le temps ?  Scrupuleuse jusqu’au bout des ongles  (tu as toute mon admiration) ? Plus stricte encore qu’au premier ?

Le voir devenir grand frère…

Ça a toujours été comme une évidence pour lui. Petit Monsieur deviendrait grand frère. Mini Monsieur est arrivé plus tard que prévu, mais Petit Monsieur réclamait une petite sœur bien avant que nous nous décidions à avoir un deuxième enfant. Quand il a appris la nouvelle, c’était comme si on lui offrait un cadeau, le même regard ému et joyeux que lorsqu’il reçoit une surprise. « C’est vrai ? Il y a un bébé dans ton ventre ? » aussitôt suivi de « il va sortir quand ? ». Puis ce fut le « On va avoir un bébé, nous, il est dans le ventre de ma maman ». C’était le bébé de toute la famille. Le briefing réussi pour lui faire comprendre que ce serait peut être une fille, mais peut être un garçon, et une coupe du Monde de foot aidant entre deux, avec l’idée qu’un garçon serait plus pratique pour jouer au foot, il est passé de l’envie d’une petite sœur à celle d’un petit frère. Et de râler sans arrêt parce qu’on ne voulait pas savoir avant la naissance !

Depuis l’arrivée de Mini Monsieur, c’est « Mon Petit frère » par-ci, « Mon Petit Frère » par-là, fier comme un paon le matin à l’école quand son Petit Frère lui fait de larges sourires, devant lesquels il appelle tous les copains pour « Voir son Petit Frère ». Et la complicité est réciproque. Dès qu’on prononce le prénom du Petit, le Mini a le sourire jusqu’aux oreilles. Dès qu’il entend le son de sa voix, il le cherche partout, et rit d’avance du show auquel il va avoir droit pour le faire rire. Car leur activité favorite, c’est de rire aux éclats. Tous les moyens sont bons, et comme Mini Monsieur est bon public, pas besoin de grande inventivité. Bref ça promet pour la suite…!

Son Petit Frère, c’est aussi un centre d’attention toute particulière. Attention, avec bébé, faut pas déconner. Déjà lorsque j’étais enceinte il scrutait tout ce que je mangeais ou buvais, en me demandant sans cesse, si c’était bon pour le bébé, parce qu’il avait dû entendre que le fromage au lait cru et l’alcool étaient proscrits. Quand j’allaitais, devant une bière (sans alcool) il s’était presque mis à pleurer : « Mais maman tu bois de l’alcool, c’est pas bon pour Mon Petit Frèèèèère ! » (et depuis qu’il a compris que ladite bière était sans alcool c’est je peux en boire moi aussi ? »), quand on essaye un aliment nouveau, il craint toujours qu’on ne fasse pas ce qu’il faut… Pas d’inquiétude si un grand embête le Mini un jour dans la cour de récré je crois…

Tant d’attention, et tant d’amour assurent un bel avenir à cette fratrie. Ça fout une claque aussi, de voir un si Petit si grand dans sa manière de prendre sous son aile le plus petit. De le voir aussi si Petit, s’inquiéter déjà pour autrui, comme investi d’une mission.

Mon Petit, avant de devenir un Grand tout court, est devenu un Grand Frère.

L’allaitement maternel et moi

Cette semaine, c’est la « SMAM » ou semaine mondiale de l’allaitement maternel. Une bonne occasion pour faire un billet et échanger avec vous sur le sujet. On a en effet appris à cette occasion que si les françaises étaient assez nombreuses à allaiter à la maternité, la majeure partie d’entre elles arrêtaient durant le premier mois de bébé, ramenant la France à un taux parmi les plus faibles d’Europe. En cause le congé maternité jugé trop court, mais aussi un manque d’accompagnement et de préparation pour un allaitement serein et efficace.

S’il y a quelque chose qui me choque particulièrement sur ce sujet, c’est la virulence avec laquelle deux camps s’affrontent. J’ai allaité Petit Monsieur pendant 8 mois et je pense allaiter Mini Monsieur tant que ce sera possible pour moi et pour lui, mais je ne suis pas une terroriste de l’allaitement. Je trouve horribles les commentaires de celles et ceux qui taclent à tout va les mamans qui ne souhaitent pas allaiter leur enfant. Tout d’abord parce qu’on ne peut pas toujours. Les statistiques publiées cette semaine le prouvent, beaucoup de mamans arrêtent l’allaitement pour cause de douleurs, complications, et bien souvent dans un grand désarroi. D’autres n’ont juste pas envie d’allaiter, et avec les laits infantiles produits de nos jours peuvent tout à fait s’en passer sans que ça nuise d’une manière ou d’une autre à la santé de leur bébé. Que ce soit l’un ou l’autre de ces deux choix, nous sommes sans cesse jugées par nos pairs. Les anti- qui vont nous accuser de faire reculer la cause féministe, et les pro- qui vont vous accuser de nuire à la santé de votre enfant. Jamais de demi-mesure. Ça m’horripile.

Oui les anticorps de la mère vont renforcer le système immunitaire de bébé avec l’allaitement.

Oui les composants des laits infantiles vont aider à lutter contre les coliques.

Tu choisis quoi alors ?

Comme souvent chaque méthode a ses bienfaits et ses travers.

Elisabeth Badinter a fustigé dans son ouvrage « Le conflit – La femme et la mère », paru en 2010, le retour en force d’un certain naturalisme, certes quelque peu culpabilisant pour les mamans, qui prônait un retour aux sources de la maternité, avec sa panoplie de concepts tels que le maternage, et de principes comme l’allaitement exclusif, les couches lavables, l’accouchement sans péridurale, le congé parental, etc… Pour la philosophe, ces concepts visaient à une aliénation de la femme à son domicile, faisant du bébé un nouvel allié de la domination masculine. L’allaitement maternel en devenant l’étendard. Badinter avait raison sur un point dans cette révolution idéologique : ses pourfendeurs, tels que la Leche League, étaient passés de l’allaitement comme choix à l’allaitement comme devoir. Rien de plus culpabilisant pour la jeune mère déjà en proie à une montagne de doutes… Là où je ne suis pas d’accord, c’est que lorsqu’on s’attaque à l’allaitement, tel que le faisait Madame Badinter, on en revient à culpabiliser la jeune mère de rétrograder la condition féminine sous le joug de la domination masculine.

Elisabeth Badinter a depuis mis de l’eau dans son vin, et réorienté son discours autour du choix de la femme et non des choix que la société ferait pour elle. Libre à chacune de décider pourquoi et comment nourrir son enfant, et cette fois je suis bien d’accord. Avec la SMAM, cette semaine, la France passait pour le mauvais élève de l’allaitement. Une fois encore, les médias ont joué la carte de la culpabilisation : « vilaines françaises, vous n’allaitez pas assez ». Et puis en creusant un peu les chiffres, on se rend compte que ce n’est pas forcément par choix, que les françaises n’allaitent pas, ou pas longtemps. Imaginez le résultat de telles accusations sur une jeune maman qui n’a pas réussi à maintenir son allaitement ! Et sur celles qui ont pesé le pour, le contre et décidé de choisir le biberon. Et d’autre part, les féministes de s’en réjouir, pas vraiment plus glorieux… La preuve, les pays scandinaves sont les champions de l’allaitement, grâce notamment à un congé mat plus long, et ces pays sont bien devant nous en termes de parité et de place des femmes dans la société ! Comme quoi…

L’accompagnement est mis en cause : je peux en témoigner. A la maternité il y a 4 ans, le lendemain de mon accouchement, je me faisais engueuler parce que je ne réveillais pas mon bébé toutes les quatre heures pour lui fourrer un sein dans la bouche, sein qu’il prendrait pas de toute façon parce qu’il était fatigué. Au retour à la maison, avec un allaitement à la demande, aucun souci. Cette fois-ci, le personnel médical a décrété que comme j’avais allaité Petit Monsieur 8 mois, j’étais experte en la matière, pas besoin d’aide ni de conseils… Résultat, mauvais placement de bébé, crevasses, et les douleurs qui vont avec. La sage-femme qui est venue me voir m’a toutefois rappelé qu’il valait mieux éviter d’écouter le personnel médical, car tout le monde, a fortiori dans un milieu féminisé comme la maternité, a son avis sur la question et ses bonnes pratiques… « Faites comme vous le sentez », la phrase que j’aurais aimé entendre il y a quatre ans et qui m’aurait évité des séquences de doutes et de découragement. Les programmes de retour à domicile (Prado) sont sur ce point une excellente chose. Proposées dans ma région depuis peu, j’en ai bénéficié et donc reçu une sage-femme à domicile à mon retour de la clinique. La rencontrer dans son contexte de vie quotidienne aide beaucoup pour les questions d’allaitement. Plus de crevasses le lendemain et un allaitement beaucoup plus serein !

Personnellement, j’allaite parce que je trouve ça pratique, on peut partir en vadrouille avec moins de choses, on ne sera pas obligés de rentrer en catastrophe sous les hurlements pour préparer le bib, en plus c’est gratuit. Et c’est tout de suite prêt, argument de taille pour les feignasses comme moi. Ok le papa est moins mis à contribution, quoique chez nous c’est Monsieur qui se lève la nuit pour m’apporter bébé, donc pas de conflit sur ce point. Ok, il faut aussi rester avec bébé presque tout le temps, quoique là encore, au bout de quelques semaines on peut aisément tirer son lait et le donner au biberon lors d’absences. c’est d’ailleurs ce que j’avais fait avec la crèche. Et puis on peut passer au mixte par la suite, mon Petit Monsieur avait déjà quelques bibs de lait infantile bien avant que j’arrête de lui donner le mien. Une transition en douceur qui a permis un sevrage impeccable, presque plus difficile à gérer pour moi que pour lui ! Parce que j’allaite aussi parce que j’aime bien ça ! Mais ce sont mes raisons et chacune est LIBRE d’avoir les siennes sans tomber dans les travers inverses et fustiger celles qui pensent autrement. Pour moi c’est plutôt ça le féminisme. Savoir ce qu’on veut et respecter ce que veulent les autres ! Ne pas imposer sa loi.

De toute façon,  quelque soit la méthode, sein ou biberon, tant qu’il est donné avec amour c’est tout ce dont bébé a besoin pour bien manger !

Et vous alors, vous avez fait quoi, comment et pourquoi ?

Journal de Grossesse – Saison 2 – Season Finale : Teaser

Pas de billet depuis le 25 septembre… Je vous donne donc quelques nouvelles ! Les fidèles s’en seront certainement douté(e)s, bébé est enfin arrivé ! La petite merveille, dont le pseudo virtuel sera donc « Mini Monsieur » (ce qui doit vous donner un indice sur le sexe;-)), 3.710 kgs, 49 cm, avec une bouille à croquer, a pointé le bout de son nez le 2 octobre dernier, dans des conditions que je vous narrerais prochainement, ne vous ayant pas fait grâce de mes déboires avec la péridurale il y a quatre ans, ce serait dommage de vous priver de ce nouveau récit…! Je suis donc partie à la maternité dans la nuit du 1er au 2 octobre, après une journée ensoleillée, avec une température bien douce à 4 h du mat’, pour en revenir le lundi suivant, avec un bébé magnifique et adorable certes, mais sous la pluie, avec pas mal de degrés en moins, pas mal de fatigue aussi, autant vous dire que l’atterrissage est plus difficile que je l’avais imaginé…

Bref pour ces prochaines semaines, je vous propose au programme la clôture de la mini série « Journal de Grossesse », mais aussi du baby blues, de l’allaitement, du faire-part et de l’équipement pour bébé, quelques TFSA de retard que je ne voulais pas louper, un nouveau rendez-vous de blogueuses auquel je vais m’atteler dès aujourd’hui (surprise !), et la reprise progressive des rendez-vous habituels,… si toutefois Mini Monsieur est d’accord avec ce rythme…!

En attendant, je vous remercie pour votre fidélité et vous dis à très vite sur le blog !

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Journal de Grossesse – Saison 2, épisode 5 – Mes indispensables de la Grossesse

Nous avons fait un petit tour des fringues il y a quelques jours, aussi je vous propose aujourd’hui un petit tour des accessoires indispensables pour une grossesse au top ! A la deuxième on commence en effet à être rodée, d’autant que les commerces en tous genres ne nous attendent pas pour évoluer et proposer en permanence des choses toujours plus intéressantes et utiles (ou pas – mais qui en donnent l’impression) !

Un petit rappel tout de même côté fringues, quitte à être répétitive, le jean de grossesse, dont j’ai déjà parlé dans mon dernier billet, et j’insiste car si vous portez des jeans comme moi au quotidien, trouvez-en un pour ces 9 mois, vous ne le regretterez pas !

Les bibles de la Grossesse

La littérature à ce sujet est comme les mamans elles-mêmes : intarissable ! Vous aurez donc l’embarras du choix. Votre mère vous retrouvera même sans doute son vieux Laurence Pernoud (« J’attends en un enfant« , le best seller en la matière,IMAG1867 et sa suite, J’élève mon enfant). Attention d’ailleurs à ne pas suivre les conseils qui y figurent tête baissée, les éditions des 80’s vous recommandant de ne boire que quelques verres de vin par jour ;-D …

Je vous recommande en outre si vous en êtes adeptes « La grossesse des paresseuses » suivi pour la suite de « Jeune maman et paresseuse« , une manière un peu plus décontractée d’en savoir plus sur les événements en cours et dans un style moins médical… J’ai acheté cette fois-ci le Cahier grossesse des paresseuses, encore un brin plus ludique et qui permet de prendre quelques notes à relire plus tard. Très sympa !

J’ai aussi pris le Guide de la femme enceinte, mais là c’est beaucoup plus médical. Intéressant au demeurant, même si je n’ai pas encore pu fini le descriptif de l’accouchement qui fout un peu les chocottes, même si je suis déjà passée par là… Je préfère les explications imagées de ma sage-femme…

Après ce n’est pas si indispensable que ça, car vous verrez auprès de votre maternité que vous récupérerez tout plein de petits ouvrages gratuits hyper intéressants qui vous permettront d’être incollables sur la grossesse, le guide Happy Baby que vous aurez avec la fameuse boîte rose, le Guide Bleu édité par le ministère de la santé sont en l’occurrence des mines d’or d’informations et de réponses à toutes les questions cons  qu’on se pose durant 9 mois ! de plus vous vous serez sûrement abonnée à Parents en amont ;-D (ne jamais dire jamais…!)

Mustella anti vergetures

Mustella Anti vergetures

La crème anti-vergetures

Encore une réjouissance de la compagnie des ventres ronds… La peau s’étire évidemment durant la grossesse, et pas forcément qu’au ventre… Et pas qu’à partir du 4ème mois… La poitrine morfle dès le début, ce qui n’est pas pour déplaire à ces Messieurs, quoique le système veineux apparent lui donne un effet carte routière…. Pour éviter de rajouter aux tracés autoroutiers des départementales violettes, la crème anti-vergetures est l’achat soin-beauté prioritaire. Prenez en plusieurs tubes, car le ventre suivra, voire même les cuisses. Tartinage conseillé une à deux fois par jour sur les zones à risques, et rien n’y paraîtra. Et on continue après l’accouchement ! Parce que les vergetures ce n’est seulement l’effet des tensions de la peau, mais de son élasticité, donc quand la peau se remet à sa place, elles peuvent débouler aussi. Je vous rassure, elles finissent bien par s’estomper, et la crème fonctionne aussi en curatif. Mais personnellement je les ai évité grâce à ça et à 8 mois révolus, pas une trace à l’horizon (je touche du bois !). La marque que j’ai choisie, Mustella, une valeur sûre. Et qui existe aussi en huile pour le curatif.

Le coussin de maternité

Mon premier achat pour ma première grossesse. Et je peux vous dire qu’il a servi, donc dans le genre achat indispensable, c’est vrai que ce n’est pas donné (environ 60 € pour celui que j’ai), mais c’est un must-have ! J’avais beau il y a 4 ans avoir pris peu de poids, les douleurs au dos ont commencé très tôt. Comme toute novice j’avais fait le tour des boutiques spécialisées et autres sites Internet, et déjà ces coussins me paraissaient confortables. Je pensais qu’ils servaient surtout pour l’allaitement et pour y installer bébé confortablement, mais j’ai lu un article et vu des photos de futures mamans dans des positions censées soulager le dos, et aider en cas de contractions. J’ai donc investi. Le mien est composé de micro-billes, et placé sous la nuque, sous les jambes pour les réhausser, sur le côté, il soulage à coup sûr. C’est la première chose que j’ai foncé récupérer auprès de l’amie à qui je l’avais prêtée pour cette deuxième grossesse. Et il est bien entendu par la suite hyper pratique pour l’allaitement ainsi que pour installer bébé confortablement ! Il en font même maintenant avec un système d’attaches qui les transforment ni plus ni moins en transat pour bébé. Et finalement, pour se reposer, se soulager le dos, etc…, pas besoin d’être enceinte ou maman pour profiter de ses bienfaits !

Le ballon

La maternité proposait il y a quatre ans des cours de préparation à la naissance en piscine, que j’ai suivis et qui font un bien fou, en plus de fournir une bonne préparation. Pour cette fois, j’aurai bien tenté l’Haptonomie, mais il

Ballon Décathlon

Ballon Décathlon

fallait commencer dès le troisième mois et trouver une sage-femme agréée sur le secteur, et qui plus est dont les horaires auraient correspondu au planning décalé de mon boulot et de celui de Monsieur… Peine perdue, je suis repartie sur la piscine. Mais ma sage-femme propose aussi désormais des cours avec ballon. Nous en avons testé un avec le papa pour voir, et ce n’est pas mal du tout figurez-vous. L’association du papa a même eu pour effet que Monsieur est cette fois prêt à être acteur de l’accouchement, et participe déjà bien au soulagement des douleurs de mon pauvre dos… L’achat dudit ballon s’est donc imposé. 12,95 € chez Décathlon, je n’allais pas m’en priver, surtout qu’il s’agit à la base d’un ballon de yoga et de gym, de quoi déjà se motiver pour le sport post-grossesse. Après, me demanderez-vous faut-il avoir suivi les cours pour s’en servir ? Je vous répondrai que le simple fait de s’asseoir dessus soulage déjà tellement bien le dos que c’est un bon investissement. Après, les exercices se trouvent facilement sur les sites spécialisés.  Mais attention tout de même à ne pas trop pratiquer sans savoir en solo, il faut quand même veiller à garder une bonne stabilité pour ne pas s’étaler par terre… A savoir, ces ballons sont aussi à disposition dans pas mal de maternités pendant l’accouchement, ce qui permet de faciliter le travail. Le bébé descend beaucoup mieux et plus vite paraît-il. Je vous dirai ça prochainement…!

La ceinture Physiomat

Ce dernier achat en date n’a pas encore passé le banc d’essai mais je vous en parle un peu quand même, et vous donner RDV dans quelques semaines pour mon verdict car je ne l’ai reçue qu’hier… C’est sur

Ceinture Physiomat Confort

Ceinture Physiomat Confort

un conseil de la sage-femme que je me suis renseignée sur ce produit. Elle, nous la conseillait pour resserrer le bassin après l’accouchement. Notre bassin morfle en effet un peu pendant l’expulsion et a tendance à s’élargir. Le simple fait de mettre un foulard serré autour pendant les heures qui suivent l’accouchement permettrait d’éviter cet élargissement. J’ai regardé par curiosité et il se trouve que cette ceinture n’a pas que cet utilité. Dans les arguments de vente figurent également le soulagement du dos, (encore et toujours, mais le ventre que j’ai je ne vous raconte pas la cambrure et les douleurs qui vont avec), la lutte contre les sensations de pesanteur (je suis dans le neuvième mois, et avec ce ventre mon centre de gravité s’est complètement barré en live…), et contre les envies fréquentes d’uriner (le bébé que je porte a eu l’excellente idée de placer sa tête juste sur ma vessie)… Ça a donc suffi à me décider pour tenter le coup. Elle a en plus d’autres indications dans le cadre des suites de couches (rééducation du périnée entre autres), et pour les personnes travaillant souvent debout, ce qui est mon cas, donc à voir…

 Voilà ma petite liste ! Et la vôtre, quels-ont vos indispensables de la grossesse ? Avez-vous utilisé ces accessoires, et qu’en avez-vous pensé ?

Bizzzz